19 décembre 2009
Hugo Chavez ou l’art du raccourci
« Si le climat était une banque, vous l’auriez déjà sauvé » a-t-il dit à l’adresse des pays les plus développés lors du sommet de Copenhague. Il n’a pas tort M. Chavez, voyez ce qu’il en est de l’accord obtenu : limiter à 2 ° le réchauffement climatique sans engagements chiffrés ! (lisez l’article de libération)…
« Après nous le déluge », n’est pas ça le slogan des Etats Unis, de la Chine, de L’UE, du Brésil, du Japon, de la Russie, du Canada, de l’Australie etc. ? Et tant pis pour Tuvalu, ils n’ont qu’à construire leur arche !
PS : voir l’article de Basta : « Comment l’Europe et la Banque mondiale subventionnent le réchauffement climatique »
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