11 décembre 2011
Le parti d'après
D’une naïveté confondante, elle avait mené croisade pour créer « le parti d’après », pour en finir avec ces partis où les hommes se reproduisaient grâce aux lois de la génétique et des mandats doublés, triplés, quadruplés, quintuplés…
Son parti prônait non pas « des incantations » mais « un discours sincère », non pas la « croissance », mais « l’imagination », non pas « une justice au service des puissants » mais « une justice indépendante », non pas « la concentration des pouvoirs », mais l’instauration de « contre- pouvoirs ».
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